samedi 31 mars 2012

Cette tornade solaire est aussi large que 5 fois la taille de la Terre. (vidéo)



Cette gigantesque tornade, qui a fait éruption à la surface du soleil, est assez grande pour engloutir la Terre. En fait, elle pourrait en avaler cinq.
Découverte grâce au satellite de la NASA le Solar Dynamics Observatory (SDO) , cette masse colossale en torsion est constituée de gaz surchauffé à des températures comprisent entre 50 000 et 40 millions de degrés C.
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Au cours de trois heures, ce monstre s’est élevé de la surface du soleil pour atteindre une hauteur de 200 000 km, soit environ la moitié de la distance entre la Terre et la Lune. Les gaz chauds ont été fouettés à près de 300 0000 km par heure. En comparaison, la vitesse du vent des tornades terrestres atteint, généralement, un tout petit 160 km/h.
Les scientifiques ont déjà vu des petites tornades solaires, avec d’autres satellites d’observation du soleil, mais celle ci-dessus, repérée en septembre 2011, est considérée comme étant la première jamais filmée.


Depuis lors, les chercheurs ont observé au moins une tornade solaire de plus, une spirale de plasma de la taille de la Terre, que pouvez admirer dans la vidéo ci-dessous. 




Ces tornades sont souvent précédées de manifestations connues sous le nom d’éjection de masse coronale, d’énormes éruptions de particules chargées qui sont éjectées de la surface du soleil avec une formidable énergie. Cette poussée est censée être liée aux interactions entre les lignes du champ magnétique du Soleil, dont les mouvements façonnent en vrille la tornade solaire.
Les images et le film ont été présentés lors de la réunion d’astronomie de 2012 à Manchester, en Angleterre le 29 mars.
Les images et la vidéo à partir de l’université Aberystwyth : Huge solar tornado discovered et du satellite SDO de la NASA.

Source:

Pyongyang accuse Washington de violer l'accord sur le nucléaire

 
194118931.jpg Pyongyang a déclaré que la décision de Washington de suspendre son aide alimentaire (voir plus bas) en réaction aux préparatifs du tir d'un lanceur destiné à mettre en orbite un satellite nord-coréenconstituait une violation de l'accord sur le nucléaire signé le 29 février entre les deux pays, ont annoncé samedi les médias internationaux.
"La réaction excessive des Etats-Unis dépasse les limites", a indiqué l'agence de presse officielle nord-coréenne, citant un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
L'agence a également rappelé la déclaration de Washington selon laquelle il ne fallait pas lier humanitaire et politique.
A la suite des négociations qui ont eu lieu fin février à Pékin entre les Etats-Unis et la Corée du Nord, Pyongyang a accepté de renoncer aux essais d'armes nucléaires en échange d'une aide alimentaire américaine. Moscou, Pékin et Bruxelles ont salué cette décision, espérant qu'elle jetterait les bases d'une dénucléarisation efficace de la péninsule nord-coréenne.
Toutefois, Pyongyang a annoncé le 16 mars son intention de mettre en orbite le satellite Kwangmyongsong-3 ("Etoile lumineuse"), ce qui a provoqué une vive réaction internationale. Le 27 mars, le Japon a déclaré qu'elle intercepterait le lanceur nord-coréen s'il déviait de sa trajectoire.
Source:

Washington suspend son aide humanitaire à la Corée du Nord (Pentagone)

Washington suspend les livraisons d'aide humanitaire à la Corée du Nord en raison de plusieurs violations par Pyongyang de ses engagements internationaux, rapportent mercredi les médias internationaux citant le Pentagone. "Nous avons été obligés de suspendre notre aide alimentaire à la Corée du Nord", a déclaré Peter Lavoy, adjoint au secrétaire de la Défense chargé des affaires de sécurité dans la région Asie-Pacifique. Selon M.Lavoy, la suspension est due à la décision de Pyongyang de lancer en avril la fusée Unha-3 chargée de mettre en orbite le satellite Kwangmyongsong-3 ("Etoile lumineuse"). Les pays occidentaux soupçonnent que ce lancement représente en fait un essai déguisé d'un missile balistique et va ainsi à l'encontre des accords entre la Corée du Nord et l'Occident, ce qui pourrait priver le pays de l'aide humanitaire étrangère. Le négociateur en chef nord-coréen pour le nucléaire, Ri Yong-Ho, a pour sa part déclaré le 20 mars que Pyongyang respectait pleinement toutes ses obligations internationales. La Corée du Nord a notamment annoncé l'intention d'inviter des experts et des journalistes étrangers pour surveiller le lancement du satellite.

Source:
http://fr.rian.ru/world/20120328/194077528.html

"Journée de la Terre": une quarantaine de Palestiniens blessés

Des affrontements ont éclaté ce vendredi à la frontière entre Israël et la Cisjordanie, à l'occasion de la "Journée de la Terre". Une quarantaine de personnes ont été blessées dans les rangs des Palestiniens qui manifestaient. Ils étaient un millier à marcher en direction du point de passage de Qualandiya. Les forces de l'ordre les en ont empêchés. Les jets de pierre ont répondu aux tirs de balles en caoutchouc et aux canons à eau. Plusieurs Palestiniens ont également été arrêtés à Jérusalem-est.

Cette "Journée de la Terre "commémore la mort il y a 36 ans de six arabes israéliens qui manifestaient contre la confiscation des terrains par Israël. "(Le 30 mars) est un jour pour notre liberté, notre dignité, notre indépendance, a rappelé Saeb Erakat, membre de l'Autorité palestinienne. Et nous devons continuer à lutter pour obtenir un Etat, gagner notre liberté et notre indépendance".

Des défilés étaient organisés ce vendredi non seulement en Cisjordanie, et à Gaza, mais aussi en Jordanie et au Liban. Par précaution, les forces de l'ordre israélienne ont bouclé l'accès aux territoires palestiniens, limité les déplacements dans Jérusalem et renforcer la surveillance des frontières avec les pays voisins. En mai dernier, des marches anti-israéliennes avaient été violemment réprimées dans la région du Golan. Une dizaine de personnes avaient alors été tuées.




Source:
http://fr.euronews.com/

Syrie: le régime Assad dit avoir écrasé la révolte

Le régime syrien a affirmé avoir gagné «une fois pour toutes» la bataille contre l'opposition et les rebelles mais ses troupes bombardaient toujours samedi des poches de résistance et de violents combats se déroulaient près de Damas et dans le sud.
L'annonce de Damas intervient la veille de la réunion des «Amis de la Syrie» à Istanbul, où les représentants de plus de 70 pays devraient «accroître la pression» sur le régime du président syrien Bachar al-Assad qui réprime dans le sang la contestation depuis plus d'un an.
«La bataille pour faire tomber l'État en Syrie est terminée une fois pour toutes et une autre bataille a commencé, celle de la consolidation de la stabilité et la construction de la nouvelle Syrie», a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Jihad Makdessi, cité par Sana.
Mais samedi, l'armée continuait de bombarder le quartier de Khaldiyé «avec une roquette par minute en moyenne» à Homs (centre), troisième ville de pays où sont retranchés des rebelles, tuant un enfant. De violents combats entre armée et rebelles se déroulaient également depuis l'aube près de Damas et dans la province de Deraa (sud), selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Le porte-parole du ministère a affirmé que l'armée syrienne se retirerait des zones résidentielles dès que la sécurité et la paix civile seront rétablies, assurant que les soldats ne font que «se défendre et protéger les citoyens qui sont pris en otage la plupart du temps».
«L'armée n'est pas contente de se trouver dans les zones résidentielles et quittera les lieux dès le rétablissement de la sécurité et de la paix civile», a indiqué M. Makdessi.
Le régime du président Bachar al-Assad assimile l'opposition et la rébellion à du «terrorisme» et à un «complot» financé et soutenu par l'étranger.
Les troupes syriennes, de loin mieux équipées et plus nombreuses que les rebelles, sont déployées en masse dans l'ensemble du pays où elles bombardent sans relâche des poches de résistance avec des dizaines de victimes chaque jour. Près de 10 000 personnes, en majorité des civils ont péri en un an de violences, selon l'OSDH.
La révolte s'est militarisée au fil des mois, les rebelles, principalement des déserteurs de l'armée, disant chercher à défendre leurs villes et les civils, face à l'impuissance de la communauté internationale à faire cesser la répression menée par le régime.
Les violences se poursuivent malgré l'annonce par Damas de son acceptation du plan de l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe, Kofi Annan, qui préconise notamment la cessation de toute forme de violence armée par toutes les parties sous supervision de l'ONU, la fourniture d'aide humanitaire à toutes les zones affectées par les combats et la libération des personnes détenues arbitrairement.
Avant sa participation à la réunion d'Istanbul, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton, entamait son deuxième jour de visite à Ryad, où elle a tenu avec le roi Abdallah et son homologue Saoud al-Fayçal des entretiens axés sur les «efforts de la communauté internationale pour mettre fin au bain de sang en Syrie».
Vendredi, les violences ont fait 39 nouvelles victimes, dont 32 civils, lors d'une journée marquée par des manifestations de milliers de Syriens qui ont exprimé leur déception au lendemain d'un sommet arabe qui s'est contenté d'appeler régime et opposition au dialogue.
«Arabes, cessez de nous ignorer, le peuple syrien veut vivre en paix», clamaient des pancartes brandies par des manifestants.
Le sommet arabe a évité d'appeler le président Assad au départ et d'apporter son soutien à l'armement des rebelles, comme le réclament l'Arabie saoudite et le Qatar. Il n'est pas non plus revenu sur un plan de la Ligue arabe prévoyant le transfert des fonctions du chef de l'Etat à son vice-président, de nouveau réclamé par le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition.
L'ONU envisage quant à elle de déployer une mission d'observateurs forte de 250 hommes pour surveiller un éventuel cessez-le-feu en Syrie, ont indiqué vendredi des diplomates.
L'organisation a demandé l'autorisation à Damas d'envoyer une équipe d'experts du département des opérations de maintien de la paix afin d'étudier sur place les conditions de ce déploiement. Le gouvernement syrien n'a pas encore répondu à cette demande.
 
Source:
http://www.cyberpresse.ca/international/dossiers/crise-dans-le-monde-arabe/syrie/201203/31/01-4511263-syrie-le-regime-assad-dit-avoir-ecrase-la-revolte.php

Vidéos / Reportage sur la grande campagne d’évangélisation au Pakistan !

Du 19 au 27 mars, l’évangéliste français Rémy Bayle s’est rendu au Pakistan afin de prêcher l’Evangile à des dizaines de milliers de Pakistanais. Plusieurs milliers de personnes ont donné leur vie au Seigneur Jésus-Christ et de nombreuses personnes ont témoigné avoir été guéries par la puissance de Dieu !
Le site internet FeuEtGloire.com vous invite à (re)vivre en vidéo, ces moments exceptionnels…

vendredi 30 mars 2012

Ce qu'il faut savoir de l'actualité internationale ce vendredi 30 mars

Du conflit syrien, au coeur des discussions de la Ligue arabe comme du sommet des Brics, à la démission choc du co-fondateur de Blackberry, sans oublier la crise de l'euro : découvrez en un clic ce qu'il faut savoir de l'actualité internationale ce vendredi.
A Bagdad, la Ligue arabe refuse une intervention militaire en Syrie
Les dirigeants arabes, réunis jeudi en sommet à Bagdad, ont appelé le régime syrien et l'opposition à un dialogue "sérieux" et rejeté toute intervention militaire en Syrie, où l'armée poursuivait ses assauts sur les villes rebelles. A l'exception de la Tunisie, aucun des 21 pays représentés n'a appelé directement à un départ du président Assad lors de ce sommet de la Ligue arabe organisé à Bagdad pour la première fois depuis plus de 20 ans.
A Damas, le président Bachar al-Assad a annoncé avoir accepté le plan de sortie de crise de l'émissaire international Kofi Annan, mais a lié sa réussite à l'arrêt des "actes terroristes", en référence aux opérations menées par les rebelles qui combattent le régime, des déclarations jugées "décevantes" par Washington.
Les Brics prônent le dialogue sur les dossiers syrien et iranien
Les cinq grands pays émergents du bloc des "Brics", qui veulent asseoir leur influence diplomatique, ont unanimement estimé jeudi lors d'un sommet à Delhi que seul le dialogue pouvait résoudre la violence en Syrie et la crise avec l'Iran sur son programme nucléaire controversé.
Espagne : des milliers de manifestants défilent contre la politique d'austérité du gouvernement Rajoy, le budget 2012 doit être annoncé ce vendredi
Une marée humaine agitant des nuées de drapeaux rouges a défilé jeudi dans toute l'Espagne, des manifestations émaillées de violences à Barcelone, au soir d'une grève générale contre la réforme du travail et la politique d'austérité du gouvernement de droite. A la veille de l'annonce du budget 2012, qui sera dévoilé ce vendredi, marqué par une cure de rigueur sans précédent, des centaines de milliers de personnes ont manifesté à travers le pays, point d'orgue de l'exaspération sociale qui grandit sur fond de chômage galopant, de récession et de coupes sociales draconiennes.
Ouverture du sommet de la zone euro à Copenhague
La zone euro va tenter vendredi de se mettre d'accord sur le montant de son pare-feu financier qui doit la protéger contre de nouveaux soubresauts dans la crise de la dette, à l'heure où la situation économique de l'Espagne suscite des inquiétudes. La reprise économique gagne en vigueur, après la tempête qui a bien failli emporter la zone euro et faire replonger la planète dans la crise, mais une croissance à "plusieurs vitesses" se dessine, "soutenue" aux Etats-Unis mais encore "faible" en Europe, estime jeudi l'OCDE.
La fuite de gaz sur la plateforme de Total en mer du Nord a été localisée, ce qui représente un "pas important" selon le groupe pétrolier français, mais les opérations de colmatage s'annoncent à haut risque en raison de l'inaccessibilité du site et des craintes d'explosion.
Mali : L'Afrique de l'Ouest a lancé jeudi un ultimatum de 72 heures à la junte au pouvoir au Mali depuis le 22 mars, brandissant la menace d'un embargo diplomatique et financier faute d'un retour à l'ordre constitutionnel après la chute du président Amadou Toumani Touré. Le même jour, la rébellion touareg a lancé une attaque sur la ville stratégique de Kidal, dans le nord-est du Mali, région où elle a déjà pris plusieurs localités depuis la mi-janvier.
Le Japon veut détruire la fusée nord-coréenne
Le Premier ministre japonais Yoshihiko Noda a donné son feu vert vendredi pour que les forces armées détruisent la fusée que s'apprête à lancer la Corée du Nord, au cas où elle menacerait le Japon.
Coup de tonnerre chez Blackberry

Le groupe canadien Research in Motion (RIM), fabricant du téléphone multifonctions BlackBerry, a provoqué la surprise jeudi en annonçant la démission de son co-fondateur Jim Balsillie, qui présidait encore le conseil d'administration de la société après avoir abandonné en janvier, avec Mike Lazaridis, son titre de co-PDG au profit de Thorsten Heins.
L'Otan accusée d'avoir ignoré les appels de détresses de 63 migrants décédés
Un an après la mort de 63 jeunes migrants dans une embarcation de fortune au large de la Libye, l'Otan et plusieurs armées, dont celle de la France, ont été mises en cause jeudi pour ne pas avoir répondu à leurs appels de détresse.

Source:
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120330trib000691129/ce-qu-il-faut-savoir-de-l-actualite-internationale-ce-vendredi-30-mars.html 

Les Brics veulent créer leur banque!

A l'issue de leur quatrième sommet, les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont plaidé pour la création d'une banque d'investissement visant à renforcer leurs relations commerciales. Ils s'inquiètent également "des excès de liquidités" dans le système financier mondial.
Bientôt une "Brics Bank?" Dans leur déclaration finale, à l'issue de leur quatrième sommet, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud ont appelé à la création d'une telle institution financière, aussi surnommée "South-South Bank". Leurs ministres des Finances devront examiner "la faisabilité et la viabilité" de cette proposition. Celle-ci devrait resserer les relations entre ces pays qui totalisent près de 20% de la croissance et 40% de la population mondiale.
Les échanges commerciaux entre ces économies émergentes, en pleine expansion, en seraient renforcés. Ils ont bondi de 28% l'an dernier, pour atteindre 230 milliards de dollars.
Le président sud-africain, Jacob Zuma, a affirmé que cette banque était une idée saluée par d'autres dirigeants africains, qui y voient une nouvelle source de financement pour des projets d'infrastructures clé. "Une telle banque a un fort potentiel pour nous aider à créer de bons emplois", a-t-il estimé. Le ministre brésilien du Commerce, Fernando Pimentel, avait pour sa part estimé mercredi que la banque "serait un outil financier très puissant pour améliorer les possibilités commerciales et peut-être une étape majeure pour soutenir l'Union européenne dans ses efforts pour surmonter la crise financière".
Les pays développés accusés d'inonder le système financier avec des liquidités
Par ailleurs, la présidente du Brésil Dilma Rousseff, le Russe Dmitri Medvedev, le Chinois Hu Jintao et le Sud-Africain Jacob Zuma, ainsi que le Premier ministre indien, Manmohan Singh ont fait état d'un sujet d'inquiétude commun : l'excès de liquidité dans l'économie mondiale. "Les liquidités excessives émanant de la politique agressive prise par les banques centrales pour stabiliser leurs économies sont en train de se répandre dans les économies des marchés émergents", ont-ils relevés dans sa déclaration finale.
Afin de lutter contre la crise économique, les banques centrales des pays développés ont en effet réduit leur principaux taux d'intérêt et injecté des fonds dans le système bancaire, afin de stimuler la croissance. Face à ce mouvement, les "Brics" appellent ces pays à adopter "des politiques macroéconomiques et financières responsables" en privilégiant des "réformes structurelles pour aider la croissance, créatrices d'emploi".
Plus de voix dans les institutions internationales
Les cinq chefs d'Etat et de gouvernement ont en outre plaidé pour une meilleure représentativité dans les institutions. L'hôte de ce sommet, l'Indien Manmohan Singh, a reconnu "des progrès (...) dans les institutions financières internationales" mais souhaite que les Brics soient davantage présents au Conseil de sécurité de l'Onu. Seules la Russie et la Chine y siègent actuellement. Les Brics demandent en outre que les pays émergents disposent de plus de voix au sein du Fonds monétaire international, et ce d'ici 2013, avant une réforme générale des quotas en janvier 2014.
Enfin, concernant le nom du prochain patron de la Banque mondiale, qui doit être déterminé dans les prochaines semaines, ils ont plaidé pour une "procédure ouverte et établie sur la base du mérite". La direction de cette institution est traditionnellement dévolue à un Américain tandis que celle du FMI revient à un ressortissant européen. Actuellement, deux candidats sont originaires de pays en développement - la ministre nigériane des Finances Ngozi Okonjo-Iweala et l'ancien ministre des Finances colombien Jose Antonio Ocampo- mais les Brics n'ont pas souhaité soutenir une nomination en particulier.

Source:
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120329trib000690906/les-brics-veulent-creer-leur-banque-.html
 

La Chine et la Russie mèneront un exercice maritime conjoint

La Chine et la Russie mèneront un exercice maritime conjoint entre avril et mai, a annoncé jeudi le porte-parole du ministère chinois de la Défense nationale, Yang Yujun.
Cet exercice militaire sera organisé sur la base d'un consensus atteint par Chen Bingde, chef de l'Etat-major général de l'Armée populaire de Libération de Chine, et des dirigeants militaires russes, a fait savoir le porte-parole lors d'un point de presse mensuel.
Les deux parties travaillent aux préparatifs de cet exercice conjoint, qui vise à approfondir le partenariat stratégique sino-russe de coopération, a-t-il ajouté.
"Il a également pour objectif d'améliorer les capacités des deux pays à relever les défis et sauvegarder la paix et la stabilité dans la région Asie-Pacifique et dans le monde", a souligné M. Yang.
La Chine et la Russie ont effectué depuis 2005 plusieurs exercices militaires conjoints dans le cadre de l'Organisation de coopération de Shanghai.

Source:
http://www.chine-informations.com/actualite/la-chine-et-la-russie-meneront-un-exercice-maritime-conjoint_40992.html

Des milliers de manifestants brûlant des drapeaux israéliens et scandant « tous à Jérusalem ». Un diplomate israélien évacué d’urgence

19.30 aux infos en Israël – « Je n’ai pas eu peur, mais j’ai été stupéfié de voir tous ces gens contre Israël. Je suis très inquiet pour le Maroc ! David Serraga
Plusieurs jours avant la marche terroriste pour Jérusalem, des milliers de Marocains ont pris part à un rassemblement de masse à Rabat.Le Diplomate israélien David Saranga, qui était dans la ville pour une conférence, a du être évacué et sorti du bâtiment par une porte latérale car les  manifestant protestait contre sa présence
Des drapeaux palestiniens ont été agités et des drapeaux israéliens ont été brûlés au cours de la manifestation.
Une organisation islamique marocaine qui a organisé cette manifestation a affirmé que 100 000 personnes ont participé au rallye.  »nous nous rendrons à Al-Aqsa», scandaient les manifestants.  »Un million de martyrs vont à Jérusalem. »
Le diplomate israélien Saranga s’est rendu au Maroc pour une conférence du partenariat euro-méditerranéen(EUROMED) Cette réunion se tenait au parlement marocain de ce fait rendu très agité.
Le Parti au pouvoir du pays [PJD] a boycotté la réunion.
A la fin de la session, des milliers de Marocains ont pris d’assaut le bâtiment et l’on a du évacuer Saranga de peur qu’il soit attaqué. Il a été emmené à l’aéroport sous haute sécurité.
Lors de la session elle-même:
Israël est un membre d’Euromed, et a donc une representation à Rabat, une présence qui a suscité l’ire des parlementaires du PJD, dirigé par Abdelaziz Amari, président du groupe parlementaire du PJD dans les chambres des représentants :
« Notre position est claire et inébranlable vis-à-vis de toute normalisation des relations avec l’entité sioniste … Je vais demander au gouvernement de préciser les circonstances exactes de l’arrivée sur le territoire national de cet israélien. » a dit Amari
Adapté par Aschkel pour Israël-flash




Source:

Renseignements : Implication de l’Iran dans les marches aux frontières d’Israël le 30 mars 2012

ALERTE 
Comble du cynisme – L’Iran force les dirigeants Juifs iraniens à expédier de jeunes juifs iraniens pour qu’ils soient mis à l’avant de cette marche. De plus sous les ordres, ces mêmes dirigeants sont obligés de faire des déclarations telles que :
« Nous les Juifs iraniens nous condamnons les les crimes barbares des sionistes, régime d’occupation de la « Palestine », qui sont contraires aux valeurs de notre prophête Moïse. Nous défendons les droits du « peuple palestinien »
Déclaration signée du seul député juif au Majliss (Parlement) iranien le  Dr Syamak Mare Dedeq, et du Grand Rabbin d’Iran Mashallah Golestani-Nejad,
par Aschkel debka.co.il
Qu’est-ce que cette marche ?
Donc,
1. Plusieurs marches simultanées aux frontières d’Israël des pays arabes voisins sont prévues le 30 mars 2012  sous  le  titre Marche mondiale sur Jérusalem.
Les marches doivent se dérouler en Jordanie, au Liban, en Syrie,  en Judée-Samarie et dans la bande de Gaza. Les organisateurs de la campagne de boycott anti-israélien, BDS (boycott, désinvestissement et sanctions) prévoient également une « journée d’activité mondiale », mêlant événements de propagande dans diverses villes du monde à ceux de la Journée de la Terre marquée par les Arabes israéliens.
Les organisateurs des événements ont mis en place des comités et des réseaux dans les divers pays, chargés de traiter du déploiement logistique et de la propagande.
2. Des témoignages en notre possession indiquent que l’Iran soutient ouvertement et avec sa propre propagande les événements du 30 mars et est aussi impliqué dans les préparatifs organisationnels des marches. À cette fin, il emploie des émissaires, y compris des organisations et des individus, affiliés à l’Iran.
3. Le soutien iranien aux marches et sa  participation à leurs préparatifs sont une preuve supplémentaire du caractère extrémiste de l’événement.
Ceci est aussi manifesté par la participation du  Hamas, des Frères Musulmans, des organisations extrémistes en Asie et des mouvements terroristes (comme le Hezbollah et le Jihad Islamique Palestinien) dans les préparatifs.
Selon nous, la nature islamique radicale des marches jette une ombre et remet en doute la participation d’organisations et d’ONG occidentales des droits de l’Homme. De plus, la présence d’éléments extrémistes du Moyen-Orient dans les événements planifiés,
Mise à jour de l’article du 22 février 2012 intitulé  » Les organisations participant à la campagne de délégitimation d’Israël planifient une série d’événements de propagande à l’occasion de la Journée de  la Terre, le 30 mars 2012″, à l’adresse particulièrement dans le secteur libanais, intensifie le potentiel de violence et de provocations, malgré le fait que les organisateurs de la marche ont déclaré à plusieurs reprises qu’elle serait non violente.
4. En conclusion, il est prouvé que l’Iran, tant directement que par ses  émissaires, soutient les marches et les autres événements de propagande prévus pour le 30 mars.
Selon nous, l’Iran a plusieurs objectifs : renforcer son influence régionale en exploitant la sensibilité du monde arabo-musulman par rapport à la question de Jérusalem, attirer l’attention internationale loin de lui et élargir et approfondir la campagne de délégitimisation lancée contre Israël en la canalisant à ses propres besoins politiques.
 
Source:

Golfe persique : une concentration de navires de guerre qui inquiète

L’économiste américain Lyndon LaRouche avait fait remarquer en janvier dernier que les forces navales occidentales déployées dans le Golfe persique et la région environnante excédaient bien au-delà les capacités de défense iraniennes. Par conséquence, et vu la faillite de l’ensemble du système financier monétariste transatlantique, on est bien obligé d’envisager l’hypothèse du pire, celle d’une conflagration globale avec la Russie et la Chine pouvant impliquer y compris les armes nucléaires.
Nous faisons ici un premier point sur les forces en présence, d’après les sources publiques en date du 26 mars 2012 :
Etats-Unis : sur les 11 portes-avions et navires d’accompagnement (formant des groupes d’action navale) que possède la marine américaine, le USS Abraham Lincoln est présentement dans le Golfe, et le USS Carl Vinson patrouille au sud des côtes de l’Iran dans la mer d’Arabie. Un troisième, le USS Enterprise, va franchir sous peu le détroit de Gibraltar pour se rendre en Méditerranée orientale, puis sera éventuellement déployé dans le Golfe persique en cas d’attaque contre l’Iran.
Quatre dragueurs de mines sont basés en permanence au Bahreïn, et l’état-major américain a demandé le 16 mars le départ de quatre autres dragueurs depuis San Diego, pour se rendre également au Bahreïn. Aucune date n’a été précisée.
Royaume-Uni : selon un article du quotidien The Sun du 26 février, la Royal Navy a discrètement réuni sept vaisseaux de guerre dans le Golfe. Le HMS Daring, un tout nouveau et puissant destroyer, est arrivé dans le Golfe en janvier, pour se rejoindre la frégate HMS Argyll.
Les dragueurs de mines Pembroke, Quora, Middleton et Ramsey sont basés au Bahrein et un sous-marin nucléaire était en route au 26 février. Un second sous-marin nucléaire devrait être envoyé, mais aucune date n’a été précisée.
France : le porte-avion Charles de Gaulle a quitté Toulon le 16 mars pour des exercices en Méditerranée (orientale ?), et sera rejoint par d’autres navires de guerre pour constituer un groupe d’action navale complet.
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Source:
http://www.solidariteetprogres.org/Golfe-persique-une-concentration-de-navires-de-guerre-qui-inquiete_08732 

jeudi 29 mars 2012

★Retour mystérieux des bruits de "Boom" à Clintonville

Le grondement est de retour dans Clintonville.
La police a dit qu'elles ont reçu de 65 appels mardi soir des résidants réveillés par certaines des perches les plus fortes encore.Les appels avaient chuté au loin depuis que l'étude géologique des États-Unis a déterminé un coup de tremblement de terre de 1.5 grandeur la semaine dernière.Il ne semble pas y a une explication pour le plus nouveau rond des perches.Les résidants de Clintonville ont pensé qu'un tremblement de terre enregistré de 1.5 grandeur a expliqué les murs criqués et les bruits étranges.« Le grondement, à mon avis, est toujours un mystère, » l'université du sismologiste Keith Sverdrup de Wisconsin-Milwaukee a indiqué.Les sismologistes comme Sverdrup étudiaient toujours ce qui cause les bruits quand ils se sont produits encore.L'équipement à UW-Milwaukee détecte seulement de grands tremblements de terre, ainsi il ne va enregistrer rien petit de Clintonville, mais même l'USGS a indiqué qu'il n'a aucune donnée des perches les plus récentes. Sverdrup a indiqué que c'était les instruments chanceux a enregistré le dernier tremblement de terre.C'est en raison du projet de rangée des États-Unis, qui s'était déplacé de l'ouest à l'est depuis 2004. Il se produit juste ainsi, des sismographes sont Clintonville proche en ce moment.« C'était parce que sans cette rangée d'instruments, je ne suis pas sûr nous n'aurais eu aucun enregistrement de que se passe-t-il là du tout, » Sverdrup très chanceux a dit.Un certain nombre d'experts ont une théorie qui expliquerait les rapports constants du rumbling.Le rebondissement glaciaire est le décalage de terre après des centaines fondues de feuilles de glace d'il y a années.« Chronomètre souvent des résultats glaciaires de rebond dans les essaims des événements très petits, » Sverdrup a indiqué.Malheureusement pour Clintonville, Sverdrup a indiqué nul ne peut dire quand ces petits événements vibrants finiront.L'étude géologique des États-Unis a indiqué 12 nouvelles qu'elle ne sait pas encore si elle mettra son propre équipement près de Clintonville pour surveiller les bruits et le mouvement là.
Source:
http://www.wisn.com/news/30783775/detail.html


Sur le même sujet voir:

Les "booms" et vrombissements se poursuivent dans la ville de Clintonville dans le Wisconsin

De mystérieux son d'explosions et vibrations se poursuivent encore...

 


Risques de contagion - La zone euro continue de faire peur au monde!


L'OCDE insiste: il faut de toute nécessité un pare-feu de 1000 milliards d'euros


L'Europe doit cesser de lésiner et convenir de toute urgence de mettre en place «la mère de tous les coupe-feu» pour stopper la crise de la zone euro, estime l'OCDE.

La taille des fonds de secours convenus jusqu'à présent «n'est pas suffisante pour rétablir la confiance des marchés», estime l'Organisation de coopération et de développement économiques dans un rapport dévoilé hier. Les ministres des Finances des pays de la zone euro qui se réunissent cette semaine doivent en «démultiplier la puissance de feu» afin de la porter à «1000 milliards au moins» qu'un fonds cumulé de près de 700 milliards d'euros sur papier, mais de seulement 500 milliards d'euros disponibles.

Des options plus musclées circulent. La Commission européenne a proposé de coupler les deux fonds pour obtenir un volume de 940 milliards d'euros, une option qui risque de buter sur les réticences de Berlin.

L'OCDE reconnaît que «le renforcement des coupe-feu doit être soupesé avec l'impact qu'il a sur les finances publiques des pays apportant un soutien budgétaire à ces dispositifs», dans une allusion à l'Allemagne, qui en est la principale contributrice.

Les pays du G20 avaient jugé indispensable en février, lors de leur réunion à Mexico, que le pare-feu de l'Union monétaire soit mis en place avant de pouvoir financer davantage le Fonds monétaire international (FMI), qui pourrait ensuite aider en retour la zone euro. Le FMI doit étudier cette question à la mi-avril.

Ce dernier a rappelé hier comment les récents progrès de l'économie mondiale sont «très fragiles» et restent particulièrement menacés par une «nouvelle escalade de la crise dans la zone euro». Son directeur adjoint, Naoyuki Shinohara, a salué le dernier plan de sauvetage européen de la Grèce lors d'un discours à Bangkok, mais il a ajouté qu'il «n'y a pas de place pour l'autosatisfaction». «Beaucoup plus doit être fait pour stimuler la croissance.»

La tâche n'est pas facile, a-t-il admis. La marge de manoeuvre de plusieurs gouvernements en Europe, comme ailleurs, est sérieusement limitée par des niveaux de dette records et des taux de chômage élevés. «Nous sommes sur un chemin très étroit vers la reprise et le risque de dérapage est très élevé.»

Changement de cap radical sur chemin étroit

La crise en Europe peut aussi être vue comme une chance de se secouer un peu et de procéder à un «changement de cap radical» après plus d'une décennie de croissance «décevante» marquée, entre autres, par de faibles gains de productivité, une piètre coordination politique et économique et une faible mobilité de l'emploi, dit le rapport de l'OCDE.

«L'Europe est au point mort et doit passer à la vitesse supérieure en faisant de la croissance sa priorité numéro un», a déclaré Angel Gurría. Mais pour cela, il faut, notamment, que les banques européennes poursuivent leur renforcement, observe l'OCDE.

À ce sujet, l'Autorité bancaire européenne (ABE) a observé hier que l'un des effets pervers des efforts déployés par les banques pour réduire leur bilan pourrait être, ironiquement, une fragmentation du marché unique.

Début décembre, l'ABE avait évalué à près de 115 milliards d'euros les besoins de recapitalisation cumulés de 31 banques européennes pour faire face à la crise de la dette souveraine. Elles doivent, de plus, répondre aux nouvelles exigences internationales en matière de fonds propres, mises en place à la suite de la crise financière.

Or l'ensemble de ces contraintes a poussé les banques d'Europe centrale et orientale à resserrer leur octroi de crédits, ce qui a conduit à un repli des institutions financières vers leurs marchés nationaux, a expliqué à Bruxelles le président de l'ABE, Andrea Enria.

Source:

http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/346074/risques-de-contagion-la-zone-euro-continue-de-faire-peur-au-monde





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